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EXPOSITION COLLECTIVE ▪ VERTIGES DES JOURS

  • Photo du rédacteur: Eric Poulhe
    Eric Poulhe
  • 3 juil. 2020
  • 2 min de lecture

Dernière mise à jour : 9 juin 2023

POLKA GALERIE, PARIS

2 juillet 2020 – 5 septembre 2020

Exposition collective avec les travaux de William Klein, Sebastião Salgado, Daido Moriyama, Joel Meyerowitz, Bruce Gilden, Miho Kajioka, Yves Marchand & Romain Meffre, Edouard Elias, Toshio Shibata, Claude Nori, Lek & Sowat, Joakim Eskildsen, Donata Wenders, Vincent Delerm, Matt Henry, Jacob Aue Sobol, Sze Tsung Nicolas Leong, The Anonymous Project, Laurent Eli Badessi, Diane Grimonet, Olivier Dassault, Nicolas Comment, The Bronx Documentary Center, Bernard Cantié, Reza, Eric Bouvet, Kosuke Okahara, Philippe Guionie, Bartabas, Mario Giacomelli, Luigi Ghirri, Janine Niépce et Marc Riboud.

« La vérité de demain se nourrit de l’erreur d’hier », écrivait Antoine de Saint-Exupéry.

Le projet « Vertiges des jours », lancé pendant les derniers jours du confinement, est un défi que nous avons lancé auprès de nos photographes. Nous avons demandé à tous nos artistes, qu’ils habitent à Paris, Tokyo, New York, Florence, Londres ou Biarritz, de réfléchir à une question simple, mais ambitieuse : « Comment voyez-vous le monde de demain ? »

Chacun y a répondu à sa manière, soit en sélectionnant dans leurs archives une ou plusieurs photographies, soit en produisant de nouveaux clichés exclusifs. Toutes ces images, accompagnées de leurs mots, sont des témoignages d’espoir, de doute ou d’envie pour notre futur commun.

Dans cette grande fresque, on trouvera « une part de rêve » : une société plus juste, plus solidaire, tournée davantage vers les autres et la cellule familiale. Un monde meilleur où les priorités seraient données à la préservation de la nature, au respect de toutes les cultures régionales ou tribales. Il y a aussi « la part du cauchemar » : un monde qui ne serait pas meilleur qu’avant mais bien pire, avec la montée de la précarité, l’aggravation des inégalités sociales, un déséquilibre aggravé entre les pays les plus riches et les plus pauvres, une montée du protectionnisme et du populisme.

Ce projet collectif, exposé sur les murs de notre galerie et publié dans les pages de notre magazine, dessine les contours du monde qui nous attend.

En écho, la galerie Polka a choisi d’exposer Mario Giacomelli et Luigi Ghirri, deux photographes qui ont construit la majorité de leurs œuvres en restant à proximité de leur domicile. Des photographes confinés avant l’heure qui ont prouvé que le voyage n’était finalement qu’une question d’imagination et de créativité.

Polka Galerie

Sélection

Commentaire ♥♥♥♥♥


Lors des derniers jours du confinement, la galerie Polka a demandé aux photographes qu’elle représente de porter leur regard sur le monde de demain, d’après confinement.

Certains artistes ont puisé dans leurs archives et fourni des images qui représentaient le mieux le monde de demain tel qu’ils l’imaginaient. D’autres ont réalisé des clichés inédits pendant la phase de confinement.

Chaque image est accompagnée d’un texte écrit par l’auteur justifiant le choix.

Certaines photographies sont suffisamment explicites et pourraient se passer du texte. Pour d’autres, le commentaire permet de comprendre le choix et le message du photographe qui n’est pas nécessairement évident à saisir. Il en ressort clairement que chacun a porté un regard très personnel sur le sujet avec des préoccupations très variées.

Au bout du compte, l’intérêt de cette exposition est l’hétérogénéité de traitement d’un thème commun à tous. Et c’est très bien ainsi.


E.P.


 
 
 

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EXPO PHOTO

© 2017 Eric Poulhe Photographie

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